Récapitulatif
Le parcours de Camille : de l’entrepreneuriat à la création de contenu
Camille est une créatrice de contenu passionnée, spécialisée en déco, lifestyle et mode. Elle s’est lancée dans l’affiliation pour monétiser ses contenus de manière libre et alignée. Son retour d’expérience en tant que créatrice de contenu en affiliation nous éclaire sur un modèle en plein essor.
Je vais te laisser te présenter. Quel est ton parcours ? Comment es-tu arrivée à créer ton compte Instagram ?
Je m’appelle Camille (compte : camillepinkroses). Aujourd’hui, je crée du contenu autour de la mode, de la décoration et du lifestyle. Pendant plusieurs années, j’ai géré ma propre marque de prêt-à-porter féminin, Janne Mill. Cette expérience m’a beaucoup appris sur la gestion de marque : j’ai adoré cette aventure. Mais en novembre, j’ai décidé d’arrêter. Je menais une vie à 1000 à l’heure et j’ai fini par craquer. J’avais besoin de me reconnecter à ce que je voulais profondément.
Aujourd’hui, je suis en transition vers un nouveau projetl. En attendant, je vis de la création de contenu, un rôle que j’avais déjà endossé auparavant. Mon compte Instagram existait même avant ma marque. À l’époque, je collaborais avec d’autres marques sous forme de gifting, sans rémunération. Je faisais cela dès que j’avais du temps.
J’ai découvert l’affiliation en janvier. J’en avais entendu parler quand je gérais Janne Mill, mais du côté marque. Une autre créatrice m’a recommandé Affilae, et ça a rapidement pris. Comme je n’avais plus de salaire fixe, l’affiliation m’a permis de générer un revenu complémentaire. Et honnêtement, Affilae est la meilleure plateforme. J’ai trouvé d’autres outils, assez compliqués, alors qu’Affilae est simple et surtout très réactif.
Pourquoi as-tu commencé à créer du contenu, et comment ton univers a-t-il changé depuis ?
J’ai toujours aimé partager. Très naturellement, je me suis orientée vers la déco, la mode et le lifestyle. Les ambiances harmonieuses, les tons naturels et les univers doux me parlent depuis toujours. Il n’y avait pas vraiment de plan au départ, ni de stratégie précise : je publie ce qui me plaît, ce que je vis au quotidien.
Un exemple : avec Leroy Merlin, j’ai partagé ma cuisine, tout simplement. Un projet déco comme un autre, publié sans calcul — et c’est ce post-là qui a généré un fort engagement, de façon très spontanée.
Au début, il n’y avait pas d’objectif clair, mais l’affiliation m’a rapidement donné un sentiment de liberté. Pas besoin de forcer les choses : je recommande uniquement ce qui me plaît, ce que je trouve utile, concret, sincère. Rester dans la réalité des gens, c’est important pour moi — et c’est aussi ma propre réalité. Ce type de contenu authentique parle à ma communauté et me donne envie de créer davantage.
Où trouves-tu l’inspiration ?
Je suis une artiste dans l’âme, donc l’inspiration me vient de partout. On me dit souvent que je regarde partout, les gens dans la rue, le ciel, les détails. Je peux être inspirée en voyage, sur Instagram, Pinterest, ou même en me promenant.
Je trouve aussi beaucoup d’idées dans les projets maison. Nous avons rénové entièrement une maison de campagne avec mon mari, de A à Z. J’adore ça. Aujourd’hui, ma communauté me fait confiance pour mes conseils déco, et ça me pousse à aller plus loin.
En tant que créatrice de contenu en affiliation, comment choisis-tu les marques avec lesquelles tu collabores ?
Pour moi, c’est essentiel de rester alignée avec mes valeurs. Être créatrice de contenu en affiliation me permet de garder la main sur mes choix. Je ne parle que de produits que j’utilise ou que j’achèterais moi-même. Il m’arrive donc de refuser certaines collaborations, et c’est justement ce que j’apprécie avec l’affiliation : cette liberté de sélection, sans pression extérieure.
Une campagne dont tu es fière ? Qu’est-ce qui a fait la différence selon toi ?
Au début, j’ai eu de très bons résultats avec des marques comme Balzac ou Soeur. Mais ma plus belle collaboration, c’est avec Leroy Merlin. J’ai simplement posté une photo de mes façades de cuisine et ça a cartonné : 20 à 30 commissions par jour, et même de grosses commissions par la suite.
J’ai aussi beaucoup aimé une campagne avec Agatha Paris. Il y avait une rémunération fixe + des commissions. J’ai redécouvert une marque qui avait un peu disparu du paysage, et c’était hyper agréable de la faire revivre à ma façon.
Quelles métriques regardes-tu pour évaluer le succès d’une campagne d’affiliation ?
Je regarde en priorité le nombre de commissions générées. Et un bon signe, c’est quand la marque me recontacte après une première collaboration. Sur Instagram, je vois aussi l’intérêt quand je reçois beaucoup de questions suite à une publication.
Comment vois-tu l’évolution de l’affiliation dans les prochaines années pour les créateurs de contenu ?
Pour moi, l’affiliation est en train de devenir la nouvelle forme de publicité, bien plus impactante que la TV. C’est du gagnant-gagnant : les créateurs partagent dans la vraie vie, les marques sont mises en valeur dans un contexte authentique, et ça fonctionne.
Je crois beaucoup au potentiel de l’affiliation. Si c’est bien présenté, et que la marque comme le créateur jouent le jeu, ça donne de très belles campagnes. En tant qu’ancienne gérante de marque, je connais les besoins concrets des marques. Si je devais en relancer une, je passerais sans hésiter par Affilae.
Qu’est-ce que t’apporte concrètement une plateforme comme Affilae dans ton quotidien de créatrice ?
C’est un vrai outil pour moi. Quand je reçois un mail pour m’annoncer une conversion, c’est un petit boost au moral, une vraie motivation pour créer encore plus.
L’outil est simple d’utilisation, les échanges sont fluides, je me sens un peu comme à la maison. J’ai commencé avec Affilae, je m’y suis faite naturellement. Je me sens soutenue, et surtout, je vois que ça marche. Ça donne envie d’aller plus loin.
